Le génie lesbien
Journaliste dans un quotidien pendant plusieurs années, la parole d’Alice Coffin, féministe, lesbienne, militante n’a jamais pu se faire entendre, comme le veut la sacrosainte neutralité de la profession. Pourtant, nous dit-elle, celle-ci n’existe pas.
Dans cet essai très personnel, Alice Coffin raconte et tente de comprendre pourquoi, soixante-dix ans après la publication du Deuxième sexe, et malgré toutes les révolutions qui l’ont précédé et suivi, le constat énoncé par Simone de Beauvoir, « le neutre, c’est l’homme », est toujours d’actualité. Elle y évoque son activisme au sein du groupe féministe La Barbe, qui vise à « dénoncer le monopole du pouvoir, du prestige et de l’argent par quelques milliers d’hommes blancs. » Elle revient sur l’extension de la PMA pour toutes, sur la libération de la parole des femmes après #Metoo ; interroge aussi la difficulté de « sortir du placard ». Et sans jamais dissocier l’intime du politique, nous permet de mieux comprendre ce qu’être lesbienne aujourd’hui veut dire, en France et dans le monde.
Quand j’ai commencé le livre, je ne savais pas à quoi m’attendre. Le premier chapitre était bien, sans être transcendant ; le second était plutôt une analyse médiatique que personnelle et je me suis demandé si j’étais au bon endroit. Et ensuite, Alice Coffin s’est lancée. Et là, pour quatre chapitres, j’ai trouvé qui j’étais…
Pilleurs de rêve
Dans un monde ravagé qui court à sa perte, les êtres humains ont perdu la capacité de rêver. Seuls les peuples autochtones ont su préserver cette faculté dont le secret réside dans la moelle de leurs os.
Frenchie, un jeune Métis, fuit la ville pour échapper aux hommes désespérés qui traquent les Autochtones comme des animaux afin d’obtenir la précieuse substance. Déjà, sa famille est tombée sous leurs mains.
Aux côtés de ses compagnons de voyage, Frenchie progresse vers le nord pour gagner la terre de ses ancêtres et assurer la survie des siens.
Je ne savais pas à quoi m’attendre. Une dystopie jeune adulte normale. Un divergente, un hunger games. J’ai pris une bonne claque en travers de la tête. Sous prétexte de littérature young adult, Dimaline traite de sujets terribles, et elle n’adoucit rien. Les horreurs de la guerre, les réfugié·es climatiques, le génocide des autochtones dont…
Rivière au Cerf Blanc
À Rivière-au-Cerf-Blanc, on dit qu’un troupeau de cerfs albinos a déjà été aperçu…
Estelle, étudiante en histoire de l’art, prévoyait de vivre une expédition en pleine nature afin de se changer les idées avant de reprendre les cours. Elle s’attendait à réparer son couple à la dérive, mais pas à ce que de mystérieuses installations artistiques de plus en plus morbides surgissent au beau milieu de la forêt. Jamais le land art n’a pris de si macabres allures… Pourra-t-elle y échapper?
Je devais lire un roman d’horreur peu connu pour un de mes #readingchallenge, et j’ai choisi celui-ci. Ce n’est pas un genre que je connais bien en dehors de Stephen King, alors je ne savais pas trop quoi en faire… Et je l’ai lu d’une traite, avec toute l’angoisse que l’autrice voulait me faire ressentir.…
The Black Veins
Sixteen-year-old Blythe is one of seven Guardians: magicians powerful enough to cause worldwide panic with a snap of their fingers. But Blythe spends her days pouring latte art at her family’s coffee shop, so why should she care about having apocalyptic abilities?
She’s given a reason when magician anarchists crash into said coffee shop and kidnap her family.
Heartbroken but determined, Blythe knows she can’t save them alone. A war is brewing between two magician governments and tensions are too high. So, she packs up her family’s bright yellow Volkswagen, puts on a playlist, and embarks on a road trip across the United States to enlist the help of six strangers whose abilities are unparalleled—the other Guardians.
The idea is good. The characters are wonderful – or could be wonderful, if the character building was more subtle. I think that’s what I missed the most in this book, subtlety. Characters were predictable, what happened was predictable – unless there was nothing hinting at it because it was there to surprise us, the…
Comment lancer un groupe de soutien
Support groups are a great way for people with common goals and experiences to provide each other with encouragement and advice. Usually limited in size to keep them intimate, they offer a safe space for like-minded people to connect, learn from each other, and grow together. While formal support groups may appear to be a … Read More
Quelques types de groupes de soutien et des conseils pour que le groupe se porte bien une fois lancé. Anne-Laure Le Cunff identifie quelques types de groupes de soutien et des conseils pour que le groupe se porte bien une fois lancé. Ceci est un résumé des passages que je trouvais les plus pertinents dans…
Éviter le burnout dû à la générosité
Ceci est un résumé orienté (je ne garde que les parties qui m’intéressent personnellement) de l’article Beat Generosity Burnout de la Harvard Business Review. Les personnes généreuses sont les gens les plus importants de toute organisation, mais c’est aussi ceux qui risquent le plus d’être touchés par un burn-out. Souvent, on confond la générosité et…