Alex
Station Eleven
Dans un monde où la civilisation s’est effondrée suite à une pandémie foudroyante, une troupe d’acteurs et de musiciens nomadise entre de petites communautés de survivants pour leur jouer du Shakespeare. Un répertoire qui en est venu à représenter l’espoir et l’humanité au milieu de la désolation.
Une pandémie (non, pas celle-là) détruit presque l’humanité. Un homme meurt sur scène. Le reste du monde meurt deux semaines plus tard. Des petits groupes de survivants tiennent bon, du mieux possible. Cet homme qui est mort un soir lors d’une représentation de Shakespeare a laissé d’autres personnes dans son sillage. Des ex-femmes, un enfant,…
The Techno-Babble in Our Tech Job Ads
This is just a rant. You were warned.
We are having a couple of local positions open at my company. So I have messaged a couple of the people, that I know they are looking for the job, if they want me to recommend them for it.
Then this week, one of these people replied with the invitation to the co…
Récap de février 2024 / February 2024 in review
February was just as intense as January, but thankfully shorter. I desperately need a break − which is pretty good, because I’ll be turning 30 on the 27th (woo!) and on holidays on the 28th of March. From March 31 to April 30, I’ll be touring Europe (going mostly through Northern Italy, Slovenia, Germany with…
indieweb news hates me
webmentions make me sad
leap
Replay
Franzi, 7 ans, est séparé de ses parents et devient réfugié dans la France occupée de 1940. Son père, autrichien menacé par le nazisme, a vécu la Première Guerre, connu le Front russe et doit fuir son pays pour l’Amérique. 80 ans plus tard, le fils de Franzi, Jordan Mechner, raconte leurs histoires grâce aux carnets tenus par chacun d’entre eux et y mêle son expatriation professionnelle des États-Unis en France.
Dans Replay : Mémoire d’une famille, Jordan Melchner, le mec qui a fait Prince of Persia, un jeu auquel je n’ai jamais joué, raconte un mélange d’histoires : La vie de son grand-père autrichien et de sa famille, parvenue à fuir la seconde guerre mondiale, qu’il reconstruit à partir des journaux de son aîné Son…
Grande Boucle de la forêt de Ouareau
Je suis bien content d’avoir pris mon plus gros duvet car j’apprends que le thermomètre de ma montre s’arrête de fonctionner à partir de -20°C. Et il n’est que 7 h du soir. Le passage du foyer au duvet est toujours un moment assez critique. Je découvre que les chaufferettes permettent de récupérer des pieds gelés plus rapidement (j’avais fait l’erreur de ne prendre que des bouteilles isotherme). Je prends soin de donner une forme enfilable à mes chaussures avec la bonne position des lacets qui vont geler aussi.
Coup de cœur pour la visite en deux jours de la Grande Boucle de la forêt de Ouareau, avec nuit en bivouac par moins vingt degrés.
Natural Beauty
Our narrator is the youngest student at the Conservatory. She produces a sound from the piano no one else does, employing a special technique she learned from her parents-also stunningly talented musicians-who fled China in the wake of the Cultural Revolution. But when an accident leaves her parents debilitated, she abandons her future as a pianist and accepts a job at a high-end beauty and wellness store in New York City. Holistik is known for its remarkable products and outrageous procedures: remoras that suck cheap Botox from the body, eyelash extensions made of spider silk, emotional support ducklings bred to imprint on their owners. Every product is ethically sourced and made with nothing but the highest quality ingredients. Our narrator’s new job is a coveted one among New York’s beauty-obsessed, and it affords her entry into a new world of privilege. She becomes transfixed by Helen-a model, and the niece of Holistik’s charismatic owner-and the two strike up a close friendship that hazily veers into more. All the while, Holistik plies our narrator with products that slim her thighs, smooth her skin, lighten her hair, and change her eye color. But beneath these fancy creams and tinctures lies a terrible truth that threatens to consume her. After all, beauty is nothing without ugliness.
Natural Beauty has stayed with me for a few weeks. I wasn’t going to write about it here, because I didn’t find it significant or likeable enough. And here I am a month later, still browsing through the list and feeling… something, when I scroll past the name of this book. I say « something…