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21 septembre 2010

« Yes they’re sharing a drink we call loneliness
But it’s better than drinking alone. »
Piano Man, Billy Joel

“Il est des moments où nos rêves les plus fous semblent réalisables, pour peu qu’on ose les tenter.” Voilà ce que j’ai lu ce matin au CDI. Et puis j’ai pensé à cette phrase toute la journée. J’ai emprunté un papier brouillon et un feutre aux documentalistes pour la recopier, mais je la récite de mémoire, et je m’en rappellerai encore longtemps. C’est Bernard Werber qui l’a écrite, cette phrase.


Bonjour, Hellow’ ! Salutations, mes poupinous d’amûr !
Pif paf pouf, pourquoi la vie est-elle si bête ? Et pourquoi ai-je tant envie de chanter aujourd’hui ? Je me sens bien, tiens. Un peu assommée, parce que j’avais encore mal ce matin, parce que j’ai repris un de leurs maudits médicaments qui me font tourner la tête pendant des heures. Mais je vais mieux, mieux, mieux ! Et dès la semaine prochaine, je peux commencer la rééducation, ô joie ! “Surtout pas en bougeant ! Tu n’as droit qu’à l’électro-stimulation”, a bien dit le médecin. Mais ça suffit, ça suffit mille fois pour que je me sente bien à nouveau. Ca veut dire que je ne vais pas perdre tous les muscles que je me suis tuée à créer depuis quelques mois, et c’est déjà une bonne nouvelle !
Les gens, vous devriez commenter un peu plus sur mon blog, je me sentirais plus… comment dire… lue. C’est vrai quoi, je me réveille le matin, tout va bien. Je me connecte sur l’ordinateur quelques heures plus tard, tout va au mieux, je suis d’attaque pour répondre à toutes vos remarques, pour rédiger mes réponses aux RPs, pour écrire un petit billet sur mon blog… et là, je vois que personne n’a commenté l’article posté la veille. Ah. Alors j’écris quand même, parce que le compteur de visites m’a dit que plus de dix personnes étaient venues sur le site hier, et j’écrirai tant qu’il y aura du monde pour lire, et peut-être encore quand plus personne ne visitera mon blog, mais parfois je me demande si ça en vaut vraiment la peine ou si les visiteurs sont partis après avoir lu le titre… Et j’aimerais avoir une réponse, avoir des commentaires, savoir ce qui va, ne va pas, avoir une raison de vous écrire et aussi quelque chose d’intéressant à vous dire. Que voulez-vous savoir de moi, que voulez-vous que je vous écrive chaque jour ? C’est à vous aussi de me le dire, vous savez !
Question du jour : à quoi bon dire “à quoi bon” ?

Eh, j’ai retrouvé un vieil article qui date de mon bac blanc de philo (je l’avais rédigé sur mon brouillon vert, en tout cas..) :
What the hell ???
“La destinée de la femme et sa seule gloire sont de faire battre le coeur des hommes” : alors, la destinée d’une femme, ça serait quoi, Môssieur Balzac ? De… séduire ? Le fait qu’un homme ose dire cela est un signe flagrant de l’inutilité du genre masculin, dans ce cas. Oh non.
Je suis contre la marginalisation des femmes, contre la discrimination. Je suis pour l’égalité et même pour les emmerdes qu’elle apporte. Je suis pour l’égalité (sauf, peut-être, en sport de compétition…) dans tous les domaines, car pour moi, l’égalité, c’est le respect, c’est la liberté, c’est le chemin vers l’élévation. L’élévation, non pas au sens de l’élévation vers Dieu (je ne crois pas en un Dieu que l’on puisse approcher de quelque manière, je pense que le Bien, il faut le faire pour soi, et non pour un autre), mais au sens d’élévation personnelle vers une perfection plus grande et une satisfaction de nos besoins qui soit plus plaisante et moins bestiale. Je suis pour une société qui vit pour l’égalité à tout prix.
Je suis pour une vie qui ne m’empêche pas d’être femme et d’avoir des amis hommes, je suis pour une vie qui ne censure pas l’amitié mixte, je suis pour une vie véritable.
“O femme à l’amour câlin et réchauffant
Douce, pensive et brune, et jamais étonnée,
Et qui parfois vous baise au front, comme un enfant.” Verlaine

Voilà, voilà.
A bientôt les bisounours,

‘LeX.

❤️

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