22 septembre 2010

Hellow’ mes citrouilles !
Non, je ne vous saluerai JAMAIS normalement. C’est décidé, dans chacun de mes articles, je trouverai une nouvelle manière de vous dire bonjour sans jamais vous traiter d’être humains normaux – peut-être un peu de misanthropie qui m’envahit à nouveau ? Ce ne serait pas gentil de ma part de vous considérer humains. Alors que les citrouilles, c’est tout mignon ! D’ailleurs… il y a, chaque année, un concours mondial de lancer de citrouilles à la catapulte : c’était l’information intéressante du jour. (Le record du monde de 2oo8 était de 544m).
Aujourd’hui est un grand jour, vous savez. J’ai dépassé le cap des 15o visites. Vous me direz que c’est bien peu, et je suis d’accord avec vous, mais je vous parlais justement hier de mes réactions quand j’ouvre ma boîte mail le matin. Toujours pas de commentaire, petite déception matinale, suivie de la connexion au blog pour vous écrire un petit article passionnant sans la moindre idée de ce qu’il contiendrait. Et là, en haut à gauche du blog, je vois “1o7 visites”. Ô joie ! Oubliée la déception du manque de réactions, qui laisse place au bonheur de voir que je suis lue ! 176 visites, c’est à la fois si peu, et tellement, c’est un cap, c’est une péninsule un nombre qui restera dans ma tête pendant un moment, je pense !
Je voudrais remercier, une fois de plus, ma chère Imène qui écrit chaque jour dans son blog. Elle me fait rire, elle me fait chanter, elle rend mes journées toutes belles quand nous nous rencontrons par hasard. Oui, je sais, j’ai déjà parlé d’Imène. Mais que voulez-vous ! C’est que je l’aime ! “Un des plus grands bonheurs de cette vie, c’est l’amitié ; et l’un des bonheurs de l’amitié, c’est d’avoir à qui confier un secret.” Et voilà comment nous nous sommes rapprochées, je crois.
Et je voulais vous parler d’autre chose, mais j’ai oublié. Quelle boulette je fais ! Et moi qui vous avais préparé un bon petit article tout chaud, je ne sais même plus de quoi il traitait !
M’enfin. Je vais vous laisser, maintenant.
Ciao ciao mes citrouilles !
‘LeX.