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La fin de l’aide publique au développement : mort et renaissance d’une politique publique globale
Le monde de l’aide internationale au développement fait face à trois révolutions concomitantes, qui concourent à l’émergence d’une politique véritablement mondiale. En premier lieu, cela se caractérise par un élargissement des objectifs qu’on lui demande de mener : aux objectifs traditionnels, qui sont de favoriser la convergence des nations en développement avec les économies industrialisées, se sont progressivement ajoutés ceux de financer l’accès aux services de base pour tous et de protéger les biens publics mondiaux. En second, face à cette nouvelle gamme de défis, le monde de l’aide au développement a montré sa capacité impressionnante à accroître le nombre et la diversité de ses acteurs. Troisièmement, les instruments utilisés se sont eux-mêmes multipliés, dans le sillage des innovations réalisées sur les marchés financiers dominants. Cependant, de façon surprenante, cette triple révolution des objectifs, des acteurs et des instruments n’a pas encore eu d’impact sur les méthodes de mesure des volumes financiers consacrés à cette politique publique mondiale émergente, ni sur les répercussions concrètes qu’elle vise à obtenir. L’article souligne le besoin de passer d’une mesure traditionnelle de l’aide publique au développement à la construction d’indicateurs plus clairs pour ce qui compte finalement : le financement et les résultats du développement mondial du XXIe siècle.
En une phrase : l’aide publique au développement laisse la place à la solidarité internationale, qui s’adapte mieux à la mondialisation et perd son objectif de pureté des objectifs.
Alerte au faux bambou dans notre vaisselle
On voit du bambou partout et il est présenté comme plus écolo que le plastique. Le problème, c’est que souvent, il s’agit d’un agrégat dégueu de fibres de bambou, dangereux pour la santé pour plusieurs raisons évoquées dans l’article. Alors attention à ne pas acheter n’importe quel truc « en bambou » en contact direct avec nos…
Comment j’ai mis en place un blog ouvert et indépendant (enfin, je crois)
Quasi-bilan de 100 jours passés à « beaucoup » marcher
Les historiens sont-ils trop spécialisés ? et de l’intérêt de la vulgarisation
On reproche parfois aux historiens de travailler sur des sujets trop ciblés, d’être trop spécialisés, voire de tout déconstruire (les vilains !). Mais au-delà de ces critiques un peu faciles, il y a bien des choses à dire sur les réalités de ce travail, et ce qu’il apporte de passionnant.
Il existe une critique, souvent de droite mais pas toujours, qui dit que les historien·nes se spécialisent trop et n’apportent plus rien d’intéressant. Le mythe du savant complet On cite parfois comme exemple des grandes références qui savent plein de choses sur tout et ont écrit des grandes synthèses généralistes, comme Jules Michelet ou Jacques…
Les demeures sans nom : et autres nouvelles
« Au centre des récits de Spôjmaï Zariâb, il y a les femmes, dressées contre la violence qui leur est faite. Une description saisissante de l’atmosphère haineuse et brutale qui règne à présen
Un recueil de nouvelles poignant, qui donne un peu trop souvent envie de se taper la tête contre un mur. C’est le genre de livre où on apprend à ne pas comprendre ce qu’on lit et à l’accepter ; un peu surréaliste, ça m’a beaucoup rappelé « Incident au fond de la galaxie ». À lire à…
Utilisateur:Exilexi/UneParPays — Wikipédia
L’obsession fasciste pour l’Antiquité gréco-romaine
Ronde de nuit
C’est un homme comblé que le duc Sam Vimaire, commissaire divisionnaire du Guet d’Ankh-Morpork, heureux père bientôt. Hélas ! la poursuite d’un dangereux criminel entraîne un accident qui le ramène dans son propre passé, en un temps de tumulte et de violence.
Vivre dans le passé n’est pas facile mais y mourir étonnamment simple. Il doit pourtant survivre car des tâches essentielles l’attendent : mettre le grappin sur un meurtrier, s’instruire lui-même, débutant, pour devenir un bon flic et changer l’issue d’une rébellion sanglante.
À l’assaut des paradoxes temporels, un « conte d’une ville » façon Disque-monde, avec sa collection de gavroches, de dames à l’affection négociable (« L’amour au juste prix ! »), de rebelles, de policiers de la Secrète et autres enfants de la révolution.
it wasn’t as funny as i expected it to be. and yet, the story was amazing, well written. it felt like reading lore about the universe rather than its own story. i loved it.