This is a riotous romp taking the reader from the turbulent frontier culture of the pampas deep into indigenous territories. It charts the adventures of Mrs China Iron, Martín Fierro’s abandoned wife, in her travels across the pampas in a covered wagon with her new-found friend, soon to become lover, a Scottish woman named Liz. While Liz provides China with a sentimental education and schools her in the nefarious ways of the British Empire, their eyes are opened to the wonders of Argentina’s richly diverse flora and fauna, cultures and languages, as well as to its national struggles. After a clash with Colonel Hernández (the author who ‘stole’ Martín Fierro’s poems) and a drunken orgy with gauchos, they eventually find refuge and a peaceful future in a utopian indigenous community, the river- dwelling Iñchiñ people.
📖 China Iron, c’est le nom qu’on donne à cette China (jeune fille), ex-femme de Martín Fierro (Fierro, c’est Fer, ou Iron en anglais). Quand elle peut fuir après avoir été abandonnée par son mari, elle n’hésite pas : elle suit la belle Écossaise Liz. Ensemble, elles commencent un long périple en Argentine et rêvent de Royaume-Uni. Avec Liz, tout change : d’abord, elles deviennent amantes, ensuite, China se glisse dans le rôle de son jeune frère de façon de plus en plus naturelle. Et bien sûr, Liz et China enchaînent les aventures rocambolesques.
💭 Ça fait deux mois que je suis censé écrire un retour sur ce livre et que mon document n’inclut qu’un mot : « turbogay »
Les aventures de China Iron sont fantasques, ça part dans tous les sens mais de façon agréable, c’est du grand n’importe quoi et ça se dévore sans peine.
En plus de flouter les frontières du genre, le livre floute les frontières du roman : je serais bien en peine de vous dire à quel genre il se rattache, à part « plein d’aventures ».